Êtes-vous un développeur Java ou aspirez-vous à le devenir ? Avez-vous récemment soumis votre candidature pour un poste qui exige des compétences avancées en Java JEE? Vous interrogez-vous sur la meilleure façon de réussir votre entretien Java et de marquer des points auprès des recruteurs ?
Si la réponse est oui, cet article est spécialement conçu pour vous !
Ce guide va explorer les questions d’entretien les plus fréquentes et les plus stratégiques auxquelles vous pourriez faire face, ainsi que les réponses que les employeurs espèrent entendre. Nous aborderons les principes essentiels de la programmation Java, les éléments caractéristiques de Java JEE, et nous discuterons également des frameworks et outils liés à cette technologie.
En outre, nous vous fournirons des astuces précieuses pour une préparation efficace à votre entretien, accentuant vos atouts en tant que développeur Java.
Questions fréquentes sur les concepts fondamentaux de Java
Dans cette section, nous allons aborder les questions les plus fréquemment posées sur les concepts clés de Java, essentiels pour maîtriser ce langage de programmation. Vous découvrirez les principes de l’héritage, des exceptions, de l’overloading, de l’overriding, du polymorphisme, des interfaces et des collections en Java, avec des exemples de code pour mieux comprendre ces concepts.
Expliquez le principe de l’héritage en Java
L’héritage est un processus permettant à une classe d’obtenir les attributs et les méthodes d’une autre classe. La classe qui reçoit les attributs est appelée la classe fille, tandis que celle qui les fournit est connue sous le nom de classe mère.
Cette caractéristique aide à réutiliser le code et à simplifier l’évolution et la maintenance des programmes. En Java, l’utilisation du mot-clé extends permet de mettre en œuvre l’héritage. Par exemple : public class Chat extends Animal
.
De cette manière, la classe Chat reçoit tous les attributs et méthodes de la classe Animal, tout en ayant la possibilité d’en ajouter ou de les redéfinir.
Comment fonctionnent les exceptions en Java?
Les exceptions indiquent des situations anormales survenant pendant l’exécution d’un programme, pouvant en perturber le flux normal. Des actions telles qu’une division par zéro ou la lecture d’un fichier non existant peuvent déclencher des exceptions.
Il est crucial que ces exceptions soient gérées correctement pour éviter une terminaison abrupte du programme. En Java, les exceptions sont représentées par des objets de la classe Throwable ou de ses sous-classes.
La gestion des exceptions se fait à travers les blocs try, catch et finally. Le code ci-dessous illustre une tentative de lecture d’un fichier, capturant l’exception si le fichier n’existe pas et exécutant un bloc de code quelles que soient les circonstances :
try { FileReader fr = new FileReader("fichier.txt"); // code pour lire le fichier } catch (FileNotFoundException e) { System.out.println("Le fichier n'existe pas"); } finally { // code pour fermer le fichier }
Quelle est la différence entre Overloading et Overriding?
L’overloading et l’overriding sont deux techniques de déclaration de méthodes en Java. L’overloading consiste à définir plusieurs méthodes portant le même nom mais avec des paramètres différents, facilitant ainsi le polymorphisme statique, c’est-à-dire l’adaptation de la méthode appelée au type et au nombre d’arguments.
Par exemple, la classe Math propose différentes méthodes max
acceptant différents types de paramètres. L’overriding, quant à lui, permet de redéfinir une méthode héritée d’une classe mère dans une classe fille, contribuant au polymorphisme dynamique, soit l’adaptation de la méthode appelée au type d’objet.
Un exemple classique est celui de la classe Chat modifiant le comportement de la méthode crier
héritée de la classe Animal :
public class Chat extends Animal { public void crier() { System.out.println("Miaou"); } }
Qu’entend-on par polymorphisme en Java?
Le polymorphisme désigne la capacité d’un objet à se présenter sous différentes formes, selon le contexte. En Java, cela se traduit par le polymorphisme statique, réalisé via l’overloading, et le polymorphisme dynamique, grâce à l’overriding.
Cette fonctionnalité augmente la flexibilité et la réutilisation du code et simplifie la conception des applications. Le polymorphisme permet par exemple d’utiliser de manière interchangeable des objets de classes différentes mais partageant une interface commune, en appelant la même méthode, comme afficher
, sur des objets de classes héritées d’Animal, qu’ils soient des Chats, des Chiens ou des Oiseaux.
Pourquoi utiliser des interfaces en Java?
Une interface est un ensemble de méthodes abstraites, sans implémentation, définissant un comportement commun à différentes classes. Elle spécifie ce qu’une classe doit faire sans décrire le comment. Une interface se déclare avec le mot-clé interface
.
Imaginons une interface Vehicule
incluant les méthodes demarrer
, arreter
, et rouler
. Une classe implémentant cette interface doit fournir une définition pour chacune de ces méthodes.
À noter qu’une classe peut implémenter plusieurs interfaces, mais ne peut hériter que d’une seule classe. L’utilisation d’interfaces supporte le principe d’abstraction, en séparant l’essence d’une entité de ses détails, et celui de l’encapsulation, en dissimulant les détails d’implémentation. Les interfaces favorisent également le couplage faible, réduisant les dépendances entre les classes.
Expliquez le concept de collection en Java et donnez des exemples.
Une collection est un ensemble d’objets considérés comme une unité unique, permettant le stockage, le tri, la recherche, le filtrage et la navigation dans les données.
En Java, les collections font partie du package java.util
, constitué d’interfaces et de classes. Il existe à la base trois types principaux de collections : les listes, les ensembles, et les cartes.
Une liste est une collection ordonnée, accessible par indice, pouvant contenir des doublons. Déclarée avec l’interface List
, une liste peut être instanciée par ArrayList
ou LinkedList
. Exemple de création :
List liste = new ArrayList(); liste.add("Java"); liste.add("Python"); liste.add("C++");
Un ensemble, déclaré avec l’interface Set
, est une collection non ordonnée sans doublons. Exemple avec HashSet
:
Set ensemble = new HashSet(); ensemble.add(1); ensemble.add(2); ensemble.add(3);
Une carte, avec l’interface Map
, associe une clé à une valeur. Par exemple, une carte réalisée avec HashMap
:
Map<String, Integer> carte = new HashMap<>(); carte.put("Alice", 20); carte.put("Bob", 25); carte.put("Charlie", 30);
Questions avancées sur Java spécifiques à JEE
Dans cette section, nous aborderons les aspect avancés de Java liés à JEE, cruciaux pour le développement d’applications web robustes et performantes. Nous couvrirons des sujets tels que les servlets, les différentes strates de l’architecture JEE, la gestion des transactions, le rôle pivotal des EJB, la sécurisation des applications JEE, sans oublier le principe fondamental du conteneur de servlets.
Expliquez le fonctionnement des Servlets en JEE
Une servlet est une classe Java renforçant la capacité d’un serveur web ou d’application. Elle gère les requêtes clients, envoie des réponses dynamiques, contrôle les sessions, et interagit avec des bases de données, entre autres. Une servlet est déclarée soit via l’annotation @WebServlet soit dans le fichier web.xml.
Elle doit implémenter la méthode service, activée par chaque requête, ou les méthodes doGet, doPost, doPut, doDelete, en fonction du type de requête. Elle a accès aux objets HttpServletRequest et HttpServletResponse, représentant la requête du client et la réponse envoyée. À titre d’exemple, voici une servlet qui affiche un message de bienvenue :
@WebServlet("/hello")
public class HelloServlet extends HttpServlet {
public void doGet(HttpServletRequest request, HttpServletResponse response)
throws IOException {
response.setContentType("text/html");
PrintWriter out = response.getWriter();
out.println("<html><body><h1>Hello, world!</h1></body></html>");
}
}
Quelles sont les différentes couches dans l’architecture JEE?
L’architecture JEE s’appuie sur le modèle MVC (Modèle-Vue-Contrôleur), distinguant les données, la présentation et la logique d’application. Cette architecture se divise en trois layers principales : présentation, logique métier, et accès aux données. La première est destinée à l’interaction utilisateur, utilisant les servlets, JSP, JSF, ainsi que les technologies HTML, CSS, et JavaScript.
La couche de logique métier gère les règles d’affaires, les transactions et la sécurité, via les EJB, CDI, JPA, etc. La dernière couche fait le lien avec les données externes (bases de données, fichiers, services web), employant des technologies telles que JDBC, JNDI, JAX-WS.
Comment gérez-vous les transactions en JEE?
Une transaction désigne une suite d’opérations exécutées de manière atomique. Sous JEE, le conteneur prend en charge la coordination des transactions grâce à un service de transaction distribuée, en partant, validant, ou annulant une transaction selon la configuration spécifiée. Ces transactions reposent sur le modèle JTA (Java Transaction API), qui fournit les interfaces et les annotations nécessaires à leur contrôle. L’annotation @Transactional par exemple, spécifie la manière dont une méthode doit être exécutée dans le cadre d’une transaction.
L’annotation peut indiquer le type de transaction, le comportement en cas d’exception, et le délai d’expiration. Par exemple, l’usage suivant exprime qu’une transaction doit être annulée en cas d’exception:
@Transactional( value = Transactional.TxType.REQUIRED, rollbackOn = Exception.class) public void updateData(Data data) { // code pour mise à jour }
Qu’est-ce qu’un EJB et quels sont ses différents types?
Un EJB (Enterprise JavaBean) est un composant encapsulant la logique métier d’une application JEE, géré par le conteneur, et bénéficiant ainsi de services tels que la transaction, la sécurité, et la gestion de la persistance. Selon le besoin, un EJB peut être @Stateless, @Stateful ou @Singleton, marquant respectivement un bean sans état, avec état, ou singleton.
Les EJB sans état servent à plusieurs clients simultanément sans garder d’informations sur eux. Les EJB avec état, liés à un client à la fois, stockent des données de session. Les EJB singleton existent en une seule instance pour toute l’application, accessible par tous les clients. Chaque type détient ses spécificités et cas d’usage, définissant ainsi la structure et la gestion des composants dans une application JEE.
Discutez de la sécurité dans les applications JEE!
La sécurité dans les applications JEE est primordiale pour la protection des ressources et des données contre les intrusions malveillantes ou non autorisées. Elle s’articule autour de deux axes principaux : l’authentification et l’autorisation. L’authentification vérifie l’identité d’un utilisateur ou d’un système et peut s’appuyer sur des stratégies variées telles que les formulaires, les certificats, les jetons, etc. Cette authentification peut être implementée par l’application elle-même ou prise en charge par le conteneur.
Concernant l’autorisation, elle détermine les droits d’accès d’un utilisateur ou d’un système à une ressource particulière ou à une action. Cette procédure peut se fonder sur des rôles, des permissions ou des règles spécifiques, et peut être configurée via des annotations, des paramètres ou des expressions.
La sécurité des applications JEE peut être améliorée et configurée à l’aide de fichiers tels que web.xml, ejb-jar.xml, application.xml, et login-config.xml. De plus, des protocoles et technologies de sécurisation des données telles que SSL (Secure Sockets Layer), TLS (Transport Layer Security), HTTPS (Hypertext Transfer Protocol Secure) et JWT (JSON Web Token) renforcent davantage la sécurité.
Comment fonctionne un conteneur de servlet?
Un conteneur de servlet est un composant essentiel qui assure un environnement d’exécution adapté aux servlets. Il gère leur cycle de vie, depuis la création des objets de requête et de réponse, l’invocation de méthodes spécifiques des servlets, jusqu’à la maintenance des sessions et la mise à disposition de divers services comme la sécurité et les transactions. Un conteneur de servlet peut être implémenté dans un serveur web ou un serveur d’applications.
Conformément aux spécifications de la JSR 340 (Java Servlet 4.0 Specification), il existe plusieurs implémentations de conteneurs servlets, parmi lesquelles figurent Tomcat, Jetty, GlassFish et WildFly. Pour déployer une application web qui emploie des servlets, il est nécessaire de créer un fichier WAR (Web ARchive) comprenant les classes des servlets, les fichiers de configuration, ainsi que les pages web et autres ressources.
Une fois copié dans le répertoire webapps du conteneur de servlet, le fichier WAR permet au conteneur de charger les classes des servlets, de lire les configurations, de créer des instances de servlets, et de les rendre disponibles pour les utilisateurs.
Questions sur les frameworks et les outils associés à Java JEE
Dans cette section, nous aborderons les questions relatives aux frameworks et outils associés à Java JEE, essentiels pour faciliter et optimiser le développement d’applications web en Java. Nous explorerons le rôle de Hibernate, l’intérêt d’utiliser Spring, la manière dont Maven simplifie la gestion de projet, le fonctionnement de JSF, et l’utilisation de JPA pour la persistance des données.
Expliquez le rôle de Hibernate dans les applications JEE !
Hibernate est un framework open source conçu pour gérer la persistance des données dans les applications JEE. Il repose sur l’ORM (Object-Relational Mapping), un principe qui permet de lier les objets Java aux tables de bases de données relationnelles. Grâce à Hibernate, le développement d’applications est simplifié par l’élimination du besoin d’écrire du code SQL, la gestion automatique des connexions à la base de données, l’optimisation des performances, et la facilité de portabilité entre différents systèmes de gestion de base de données.
La configuration de Hibernate se fait via le fichier hibernate.cfg.xml, qui renseigne les détails de connexion à la base de données et le mappage des classes Java. Hibernate permet aussi l’utilisation d’annotations ou de fichiers XML pour le mappage des attributs et des associations de classes Java.
À titre d’exemple, l’annotation @Entity signale qu’une classe Java représente une entité persistante, tandis que @Id marque l’attribut comme la clé primaire de la table. Hibernate fournit une API pour réaliser des opérations CRUD sur les objets persistants et un langage de requête orienté objet, HQL (Hibernate Query Language), qui facilite l’interrogation des données en utilisant la syntaxe Java.
Quel est l’intérêt d’utiliser Spring dans le développement JEE?
Spring est un framework open source qui propose un modèle de programmation et une structure de support pour le développement d’applications JEE. Il repose sur l’IoC (Inversion of Control), concept qui confère au conteneur Spring la responsabilité de créer et gérer les beans Java. L’injection de dépendances est au cœur de Spring, autorisant l’insertion automatique des beans nécessaires dans d’autres beans, par le biais du constructeur, d’un setter, ou directement dans un champ.
Spring offre la configuration des beans par le biais d’annotations ou de fichiers XML et comprend de nombreux modules pour différentes facettes du développement d’applications, telles que la sécurité, la gestion des transactions, la persistance, et autres. Il favorise la réduction du couplage entre composants, la réutilisation du code, l’amélioration de la testabilité et l’intégration aisée avec d’autres frameworks et technologies.
Comment Maven simplifie-t-il la gestion de projet sous Java?
Maven est un outil d’automatisation de build et de gestion de projet pour Java. Il prend en charge la gestion des dépendances, des plugins, des rapports, et bien plus. Grâce au concept de POM (Project Object Model), un fichier XML décrivant le projet, Maven standardise la structure des répertoires, rendant le projet facile à comprendre et à gérer.
Maven fournit un cycle de vie de build standardisé, avec des phases telles que la compilation, le test, l’emballage, l’installation, et le déploiement, tout en permettant la personnalisation via des plugins. Cette approche assure la cohérence, la qualité, et la portabilité du build, simplifiant ainsi la gestion de projet.
Qu’est-ce que JSF et pourquoi est-il utilisé?
JSF (JavaServer Faces) est un framework web destiné à la création d’interfaces utilisateur graphiques pour applications web Java. Basé sur le modèle MVC (Modèle-Vue-Contrôleur), JSF sépare la logique métier de la présentation et de la navigation, utilisant des composants réutilisables pour assembler l’interface utilisateur.
JSF propose une librairie standard de composants et permet la création de composants personnalisés ou l’utilisation de bibliothèques tierces. Il repose sur une série de concepts tels que les backing beans, les Facelets (fichiers XHTML pour la mise en page), l’expression language pour accéder aux données et aux méthodes, ainsi que des mécanismes pour la conversion et la validation des données, la gestion de la navigation, des événements, des messages, des ressources externes, et plus encore. JSF est particulièrement prisé pour développer des interfaces utilisateur riches et interactives pour les applications web Java.
Parlez de l’utilisation de JPA pour la persistance des données!
JPA (Java Persistence API) est une spécification définissant une API standard pour la persistance des données dans les applications Java. Elle facilite la manipulation d’objets persistants, qui sont des instances de classes Java mappées aux tables de bases de données. Utilisant le principe de l’ORM (Object-Relational Mapping), JPA permet de lier les objets Java aux tables de bases de données relationnelles de manière transparente.
Cette API simplifie le développement des applications en supprimant le besoin d’écrire du code SQL, gérant le cycle de vie des objets persistants, optimisant les performances et garantissant la portabilité entre différents fournisseurs de persistance. JPA comprend trois éléments principaux : les entités, le gestionnaire d’entités et la requête JPQL.
Les entités sont des classes Java annotées avec @Entity et @Id, représentant les données persistantes, pouvant contenir des attributs et des associations définis par des annotations comme @Column, @OneToOne, @OneToMany, etc.
Le gestionnaire d’entités est responsable des opérations CRUD sur les entités, et s’obtient via la fabrique d’entités, configurée avec les détails de connexion à la base de données et le mappage des entités.
La requête JPQL (Java Persistence Query Language) est un langage de requête orienté objet permettant d’interroger les entités en utilisant la syntaxe Java, créée soit à partir du gestionnaire d’entités soit via l’annotation @NamedQuery.
JPA joue un rôle crucial dans la gestion de la persistance des données des applications Java, offrant un moyen simplifié d’interagir avec la base de données tout en assurant une abstraction complète du code SQL.
JPA se fonde sur l’ORM pour mapper efficacement les objets Java aux tables de bases de données relationnelles, et nécessite un fichier persistence.xml
pour sa configuration, contenant les données de connexion et le mappage des entités.
Voici un exemple pratique d’utilisation de JPA :
// Création d'une fabrique d'entités à partir du fichier persistence.xml EntityManagerFactory emf = Persistence.createEntityManagerFactory("jpa-example"); // Création d'un gestionnaire d'entités EntityManager em = emf.createEntityManager(); // Début d'une transaction em.getTransaction().begin(); // Création d'une entité Personne Personne p = new Personne(); p.setNom("Dupont"); p.setPrenom("Jean"); p.setAge(25); // Persistance de l'entité em.persist(p); // Validation de la transaction em.getTransaction().commit(); // Recherche d'une entité par son identifiant Personne p2 = em.find(Personne.class, p.getId()); // Affichage des informations System.out.println(p2); // Nouvelle transaction pour mise à jour em.getTransaction().begin(); p2.setAge(26); em.merge(p2); em.getTransaction().commit(); // Requête JPQL pour sélectionner toutes les personnes Query q = em.createQuery("SELECT p FROM Personne p"); List personnes = q.getResultList(); System.out.println("Nombre de personnes : " + personnes.size()); // Suppression d'une entité em.getTransaction().begin(); em.remove(p2); em.getTransaction().commit(); // Fermeture du gestionnaire d'entités em.close(); emf.close();
Conclusion
À ce stade, vous devriez avoir une compréhension claire des questions potentielles à attendre lors de votre entretien Java, ainsi que des réponses que les recruteurs espèrent entendre. Nous avons couvert les principes de base de Java, exploré les éléments propres à JEE, et discuté des frameworks et outils cruciaux liés à cette technologie. Il est notre espoir que cet article vous ait été bénéfique et que vous vous sentiez désormais mieux préparé pour aborder votre entretien Java.
N’oubliez pas de réviser attentivement les concepts présentés ici, de vous exercer via des exercices pratiques et des échantillons de code, et de vous informer sur l’entreprise ainsi que le rôle pour lequel vous postulez. Nous vous souhaitons bonne chance pour votre entrevue Java et pour votre future carrière en tant que développeur Java!